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« Le chant de la baleine »

Conte & Histoire audio pour enfant

Conte & histoire de pirate audio à écouter

Pendant tout l’été, Epopia (en partenariat avec le podcast « les p’tites histoires ») vous propose une série de 8 histoires et contes audio pour enfants ! Découvrez ci-dessous le podcast « Le chant de la baleine » suivi de l’histoire au format texte.

Des podcasts proposés par Epopia, le jeu qui fait lire, écrire et rêver les 5-10 ans !

Epopia transmet le plaisir de la lecture et de l’écriture aux enfants de 5 à 10 ans. Découvrez ce jeu littéraire qui a déjà fait lire et écrire avec passion plusieurs dizaines de milliers d’enfants dans le monde entier !

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Synopsis : Nao, Myrtille et Barnabé embarquent dans un bathyscaphe pour partir à la recherche de Mystic, la légendaire baleine blanche ! Entraînés dans les profondeurs de l’océan, arriveront-ils à vaincre les pirates-fantômes pour réaliser ce rêve ?

Nao, Myrtille et Barnabé vivaient dans un immeuble pareil à cent mille autres, à une exception près : ses couloirs étaient parcourus de portes magiques qui s’ouvraient sur d’autres mondes. Des mondes qu’ils étaient sur le point de découvrir…

C’était la fin des vacances d’été. La rentrée approchait à grands pas et nos trois amis discutaient :
– Moi, j’ai fait mon exposé sur la peinture de Léonard de Vinci ! dit Myrtille. J’en ai même peint toutes les pages ! C’est super, hein ? Et vous ?
– Le mien porte sur deux moments particuliers de l’Histoire : l’invention de l’alphabet et celle des hiéroglyphes ! répondit Nao.
– Ah, pas mal… Et toi Barnabé ?

Hé bien Barnabé n’avait pas d’idée pour son exposé. « Comme souvent ! » pensait-il. En tout cas, s’il en avait une, elle n’était pas suffisamment intelligente, selon lui, pour être partagée avec ses amis.

– Tu n’as qu’à prendre une des miennes !
– Ou t’inspirer de quelque chose que tu aimes…
– Bah, j’adore l’océan et tous ses habitants ! J’ai lu plein de livres dessus ! Ce que je préfère, c’est les abysses ! Il y a tout plein de bêtes rigolotes qui y vivent ! Et ce que j’aimerais le plus au monde ce serait…
Barnabé avait un rêve au fond de son cœur mais, ayant peu confiance en lui, il avait eu peur d’en parler jusque là. Il se risqua alors :
– D’entendre le chant de Mystic, la légendaire baleine à bosse blanche ! Et d’apprendre tout plein de choses sur elle !
– Et pourquoi on ne partirait pas, tous ensembles, à sa recherche ? Ce serait une super idée d’exposé ! dit Myrtille.
– On pourrait demander à ton tonton de nous y emmener avec son bateau ? Comme la dernière fois, quand on est allés observer les requins citrons ! proposa Nao.
– Oh, vous feriez ça pour moi ? Génial !

Ils passèrent la porte magique qui les mena droit au port du petit village de Crevek. L’oncle de Barnabé était là, sur son chalutier, en train de pêcher tranquillement.
Les trois amis coururent le saluer et Barnabé lui exposa leur projet.
– Bien sûr les enfants ! Si ça peut vous faire plaisir ! En avant ! Direction : l’océan !

Ils parcoururent des dizaines de kilomètres sans observer la moindre trace de la baleine. Quand soudain…
– Tonton, regarde ! C’est elle, Mystic, j’en suis sûr !
– Oh oui, c’est bien elle ! Mais… Houlà… Ça ne sent pas bon. Elle se dirige en plein dans une tempête. Désolé mon petit, mais c’est trop dangereux. Nous devons faire demi-tour sur le champ !

Barnabé observa son oncle manœuvrer avec tristesse. Après tout, que pouvait-il bien faire pour l’en empêcher ?
Devant son embarras, Myrtille lança un sort : « Pissenlits et Plumes d’oreillers, Vers la baleine fais-nous voguer »

PATATRAC ! Le tonton s’écroula sur le pont du navire et ronfla à l’en faire trembler !
– Oh j’ai dû me tromper dans ma formule ! Je voulais qu’il nous emmène vers la baleine…
– Bah là, il dort comme un bébé. J’ai bien peur qu’il ne nous conduise nulle part.
– On n’a qu’à prendre le bathyscaphe !
– Le quoi ?
– Le petit sous-marin que voici ! D’après mes calculs de sorcière, l’orage ne sera pas là avant deux heures. Ça nous laisse suffisamment de temps pour trouver la baleine avant que ton tonton ne se réveille et que l’orage le surprenne.

Barnabé prit un instant pour observer le petit sous-marin en forme de tortue de mer. Fait de plaques de métaux rouillées, de morceaux de caoutchouc colorés et d’un vieux pare-brise de bus, il lui semblait aussi émerveillant que terrifiant.
– Tu es sûre de ton coup, Myrtille ?
– Mais ouiii ! affirma Myrtille en se glissant dedans. Vous venez ?

Une fois à l’intérieur, pas tout à fait rassuré, Barnabé s’empara du manuel de bord pour l’étudier. Après avoir testé les boutons et les manettes de commandes, il lui semblait « à peu près » en état de fonctionner. Et puis, de toutes manières, il n’avait pas d’autre idée pour rejoindre la baleine blanche.

Nao prit les commandes et Myrtille se plaça au poste d’observation.
Soudain, alors qu’ils voguaient en direction de la baleine, le bathyscaphe se mit à vibrer, sautiller et tournoyer sur lui-même ! Nos amis se sentaient comme des bouts de laitue pris dans une essoreuse à salade.
– Qu’est-ce qui se paaaaassssse ?
Un gigantesque tourbillon s’était formé au milieu de l’océan. Il les entraînait dans les profondeurs…
– Où qu’on est ?
– Il fait tout noir ici !

Une petite lueur jaillit dans le noir et s’approcha de leur hublot.
– Hiiiii ! sursauta Myrtille. C’est quoi ce machin horrible ?
– Ce n’est pas un « machin horrible » ! C’est une baudroie des abysses !
– Ouais, bah elle fait sacrément peur !

D’innombrables bestioles luminescentes, poilues, transparentes, colorées vinrent à la rencontre du bathyscaphe.
– Oh, un crabe yéti ! Et là, un calamar rouge ! Un poisson transparent ! Un poisson dragon ! Et un poulpe dumbo ! Comme il est mignon ! s’extasia Barnabé.
– Ouais, ouais. C’est bien sympa tout ça, mais nous, c’est la baleine qu’on doit retrouver. Allez, sortons de là !

Nao alluma les phares du sous-marin.
Ils virent alors qu’ils avaient atterri dans une sorte de grotte.
– On ne peut pas remonter. Le haut de la grotte est bouché par des rochers, constata Myrtille. Il va falloir avancer pour trouver une autre sortie.

Devant eux, se dessinaient deux voies. À gauche, un chemin étroit parsemé de stalagmites et de stalactites. À droite, un large chemin dans lequel des rubans aux reflets vert-bleu semblaient s’enrouler et se dérouler.

Barnabé connaissait ces algues. Elles étaient dangereuses. Il voulut prévenir ses amis mais… s’il se trompait ? Et si son idée de prendre le chemin le plus sûr était mauvaise ?
Il préféra se taire et suivre les indications de Myrtille qui, elle, de toute évidence, n’avait pas peur d’exprimer son point de vue.
– Prenons à droite. Ce sera moins dangereux et plus rapide. Il ne nous reste plus qu’une heure avant que la tempête ne vienne frapper le bateau de ton oncle !

Nao manœuvra doucement le sous-marin dans l’étroit passage. Plus personne ne respirait. La sortie n’était plus qu’à quelques rochers quand…
…SPLACH ! Une algue monstrueuse vint attraper le sous-marin. Une seconde l’enroula. Une troisième l’englua. Puis, enfin, une QUATRIEME le fit définitivement prisonnier.
– Appuie sur le champignon ! On doit sortir de là avant que ces algues nous écrabouillent !
– Mais je ne vois rien ! s’affola Nao. Et… la…manette…est…bloquée !
Myrtille tenta de l’aider à descendre le levier, sans y parvenir.

Barnabé, quant à lui, cherchait une idée, les yeux fixés sur le tableau de bord.
– Je sais !
Il en tenait une. Était-elle bonne ou mauvaise ? « Mauvaise », se dit-il. Mais elle le tentait…Il s’y risqua.
Il se couvrit les yeux, approcha son index et… « Chpouing ! » pressa le « bouton-raie » qu’il avait vu dans le manuel de bord.

C’est alors que le bathyscaphe vibra, vibra, vibra encore et FLOUUUUUF ! Il expulsa un gigantesque cerf-volant en forme de raie Manta !
Ainsi emporté par les courants, le sous marin s’extirpa des algues !

En chemin, il heurta tout de même un rocher, rebondit sur des éponges de mer, passa entre les tentacules d’une méduse géante, et failli fondre dans les fumées brûlantes des volcans sous-marins.

Malgré tout, nos amis étaient sains et saufs.
On ne pouvait pas en dire autant de leur sous-marin qui prenait l’eau.

– On l’a échappée belle ! Merci Barnabé ! dit Nao en serrant son ami dans les bras.
– Ah, euh, de rien ! Mais bon, à cause de moi, le bathyscaphe est quand même sacrément cabossé !
– Oui, mais sans toi, on y serait encore ! Comme quoi, parfois, il vaut mieux tenter et risquer de rater un peu, que ne rien faire du tout !
– Myrtille a raison. Grâce à ton idée, tu nous as sauv…Oh regardez là-dessous !

À quelques mètres à peine de leur embarcation, s’étalait un merveilleux cimetière de navires : des galions, des sous-marins, des chalutiers, des galères. Ils étaient habités par des fantômes qui semblaient mener une petite vie tranquille ! Des matelots regardaient des cartes, des passagers buvaient le thé, des pêcheurs tissaient des filets…

– Ils ont l’air gentil ! Et en tant qu’apprentie-sorcière je m’y connais, moi, en fantômes. On pourrait leur demander par où passer pour retrouver la baleine.
– Humm… Moi, je les trouve louches ! bredouilla Barnabé. J’ai l’impression que ce sont des pirates. Et les pirates, ce sont des chasseurs de baleines.
– Et qu’est-ce qui te fait dire ça ?
– Je suis presque sûr de savoir reconnaître un bateau pirate quand j’en vois un. Et là, vu le genre de canons et de drapeaux… On pourrait peut-être enclencher le mode furtif et…

Mais il s’arrêta net : et s’il se trompait ? Le bathyscaphe était déjà dans un sacré état depuis ses derniers exploits. Et puis, c’était vrai que Myrtille en connaissait un sacré rayon sur les fantômes !
– Tutututu ! Un pacte d’amitié lie les fantômes et les sorcières depuis des centaines d’années. Allez, approchons. Je vais leur demander notre chemin. Nous n’avons pas de temps à perdre.
Ils pénétrèrent dans le cimetière.

Les fantômes se figèrent tout à coup et les fixèrent de leurs gros yeux globuleux. Puis, lentement, ils avancèrent vers le bathyscaphe.
– Déguerpissons ! Je ne la sens pas cette histoire, moi ! s’écria Barnabé.
Nao approuva.
– Vous ne seriez pas des poulpes mouillés, par hasard ? Je suis sûre qu’ils viennent nous saluer ! Ils sont polis, voilà tout !

Les fantômes encerclaient à présent le petit sous-marin.
– Bonjour, je suis Myrtille ! Sorcière des terres et des mers et voilà mes amis. Nous sommes à la recherche de…
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, qu’une voix se fit entendre au loin :
– Capturez-les ! Attention, il me les faut vivants !

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Vous êtes ?

Les fantômes d’apparence si gentille, se transformèrent soudain en squelettes recouverts d’algues et vêtus d’habits déchirés.
– Barnabé, suis ton idée : enclenche le mode furtif ! hurla Nao.

Trop tard, les fantômes venaient de pénétrer dans le bathyscaphe. Myrtille eut juste le temps de lancer un sort pour leur fabriquer des bulles d’air, avant que les fantômes ne les saisissent et les entraînent avec eux sur le bateau pirate que Barnabé avait cru apercevoir. Il le reconnaissait à présent : c’était celui du capitaine Barbe-Frousse ! Il avait lu son histoire dans un livre.

Et tout à coup, le navire TREEEMMMMBLA ! Ils le sentirent se redresser ! En quelques instants, il remonta les courants et fit surface sur l’océan !
– Héhéhé ! Merci mes petits ! Grâce à vous, le sort qui nous retenait prisonniers au fond des abysses a été brisé ! dit le Capitaine Barbe-Frousse.
– Je vous connais ! Nous ne ferons pas ce que vous voulez ! cria Barnabé.
– Vous y serez bien forcés !
Le capitaine alla murmurer des choses aux membres de son équipage, ce qui permit à Barnabé d’expliquer la situation à ses amis.

– Nous sommes sur un bateau pirate qui a coulé alors qu’il s’attaquait à un navire royal. Pour punir son capitaine Barbe-Frousse et son équipage, le grand magicien du roi les a condamnés à passer l’éternité dans les abysses. Comme dans toute malédiction, il y avait un contre sort. Les pirates avaient une chance de se libérer des profondeurs : il leur fallait capturer des enfants vivants. Ce grand magicien n’a pas imaginé que des enfants iraient se promener dans un endroit pareil…

À présent, Barbe-Frousse veut capturer Mystic, la baleine, et l’obliger à chanter pour lui et ses matelots, tout le reste de sa vie. La légende dit que son chant est si beau qu’il pourrait redonner vie aux fantômes. Or les baleines ne répondent qu’au chant de l’enfance.
Le capitaine va nous obliger à chanter pour attirer Mystic dans ses filets !
Et dire que je croyais que tout ça, ce n’était qu’une légende…

– C’est bien réel, les enfants ! Et maintenant, vous allez chanter ! Ah ! Ah !
– Hors de question ! s’écrièrent en cœur les trois amis.
– Chantez, vous dis-je !
– NON !
– Hé bien, on va voir ce qu’on va voir ! Saisissez-les et jetez-les aux requins ! S’ils ne chantent pas, au moins, ils hurleront de peur !
– Non, attendez ! hurla Barnabé. Vous avez gagné ! Je vais chanter ! Libérez mes amis !
– Non Barnabé ! Quelle drôle d’idée. Ne fais pas ça !

Une idée, Barnabé en avait une, en effet. Il devait oser l’exprimer s’il voulait avoir une chance de sauver ses amis. Était-elle bonne ou mauvaise ? Comment le saurait-il s’il ne la mettait pas en pratique ?

Il entonna une douce mélodie qui résonna dans les airs. Elle était à la fois cristalline et envoûtante. Ses deux amis n’en crurent pas leurs oreilles : Barnabé chantait prodigieusement bien !

– La voilà ! Elle arrive Capitaine ! hurla un pirate, l’œil rivé à sa longue vue.
– Arrête Barnabé ! Ne les laisse pas la capturer !
Barnabé savait PARFAITEMENT ce qu’il faisait…

Alors que la baleine s’approchait, il changea sa manière de chanter : elle devint plus brutale, plus saccadée, et sa voix de plus en plus stridente.
La baleine disparut sous l’eau.
– Que se passe-t-il ? gronda le Capitaine. Chante idiot ! Ou je t’embroche avec mon sabre !
Idiot ? A cet instant précis, Barnabé ne se sentait pas plus idiot qu’un autre. Au contraire…

Une rafale de vagues s’agita au loin.
– Capitaine, Capitaine. Nous avons un problème ! dit le pirate à la longue vue.

Hé oui, un gros problème, même ! La baleine à bosse blanche fonçait en direction du bateau pirate. Elle était accompagnée de requins marteaux, d’orques, de méduses, de dauphins, de bancs de sardines, de baudroies, de calamars rouges, de poulpes dumbos et de bien d’autres bestioles aquatiques transparentes et poilues.
– Non d’une méduse à moustaches ! QUITTEZ LE NAVIRE !!!
Les pirates tentèrent de fuir dans de petites chaloupes, mais la baleine et ses amis encerclaient déjà leur bâtiment.

– Un coup de tentacules ne serait pas de refus, chantonna Barnabé à une pieuvre géante. Souriante, elle les porta, lui et ses amis, sur le dos de la baleine à bosse blanche. De là, ils virent toute la scène.

En moins de temps qu’il n’en fallait pour dire PLOUF, les animaux marins firent chavirer le navire qu’ils entraînèrent dans les profondeurs de l’océan : à un endroit où aucun enfant ne pourrait jamais plus les secourir.

– On a réussi ! Tu as été génial Barnabé ! se réjouit Nao.
– Il ne nous reste que quelques minutes avant que ton oncle ne se réveille et que l’orage ne gronde.
– Il se trouve à des kilomètres ! Comment va-t-on arriver à temps ?

Sans manquer de remercier tous les animaux marins, Barnabé implora Mystic de les ramener auprès de son tonton.
Elle leur fit traverser l’océan comme une chanteuse d’opéra traverse une partition de musique.
Le voyage ne dura que le temps d’une chanson, une chanson que Barnabé et la baleine fredonnèrent en cœur. C’était là bien plus qu’il n’avait rêvé.

Ils retrouvèrent son tonton, puis la terre ferme. Alors que le soleil se couchait sur la ligne d’horizon, Myrtille et Nao promirent d’être plus attentifs aux idées de Barnabé. Quant à lui, il aurait moins peur de les exprimer ! Il leur en confia d’ailleurs quelques unes. Comme c’est le cas pour chacun d’entre nous, certaines étaient géniales, d’autres plus fragiles.

Il leur fallut admettre que sa dernière trouvaille était particulièrement brillante : présenter son exposé… en chantant ! Elle lui valut les applaudissements de tous ses camarades qui rejoignirent son « Club des protecteurs des baleines et de tous les animaux des abysses bizarres et rigolos ». Barnabé avait déjà plein d’idées qui germaient pour les protéger…

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