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« La machine à rêves »

Conte & histoire de sorcière à écouter pour les enfants

Conte & histoire de sorcière audio à écouter

Pendant tout l’été, Epopia (en partenariat avec le podcast « les p’tites histoires ») vous propose une série de 8 histoires et contes audio pour enfants ! Découvrez ci-dessous le podcast « La machine à rêves » suivi de l’histoire au format texte.

Des podcasts proposés par Epopia, le jeu qui fait lire, écrire et rêver les 5-10 ans !

Epopia transmet le plaisir de la lecture et de l’écriture aux enfants de 5 à 10 ans. Découvrez ce jeu littéraire qui a déjà fait lire et écrire avec passion plusieurs dizaines de milliers d’enfants dans le monde entier !

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Synopsis : Nao, Myrtille et Barnabé sont retenus prisonniers chez une sorcière. Elle a branché Myrtille sur une étrange machine qui capture ses rêves! Nao et Barnabé parviendront-ils à délivrer leur amie ?

Nao, Myrtille et Barnabé vivaient dans un immeuble pareil à cent mille autres, à une exception près : ses couloirs étaient parcourus de portes magiques qui s’ouvraient sur d’autres mondes. Des mondes qu’ils étaient sur le point de découvrir…

– Et si on construisait une cabane avec des couvertures et des chaises ? proposa Nao qui avait invité ses amis à dormir chez lui.
– Ah, chouette idée ! On éteindra la lumière, je mettrai mon pinceau magique en fonction veilleuse et on se racontera des histoires ! renchérit Myrtille.
C’est ce qu’ils firent, avec plaisir et excitation, jusqu’à ce que…

– Oh ! J’en ai assez de tes histoires de monstres, et de vampires, et de momies, et de tout ça ! Je vais encore faire des cauchemars ! s’énerva Barnabé.
– Rhooo, mais c’est rigolo ! Ne me dis pas que tu as peur que « Le Rat Croqueur De Doigts de Pieds qui Puent » vienne te les grignoter cette nuit !
– Barnabé n’a pas tort ! Moi aussi, je fais plein de cauchemars, en ce moment. Et avec tes histoires, ça ne va pas s’arranger !
– Oh bon, d’accord, ça va. J’arrête… Hé mais, attendez. J’ai une idée ! Ça vous dirait qu’on prépare un Soufflé de Beaux Rêves ?
– Un quoi ?
– C’est super bon ! Foi de sorcière ! Ce matin, j’en ai cuisiné un avec tatie Framboise. Voyons voir la recette…
Ah ! Voilà, ce que dit le livre de recettes magiques : « Ce gâteau a le pouvoir de chasser les cauchemars et de les remplacer par des rêves merveilleux ». Il vous faut : 1 Kg de farine bleue, 3 œufs bien dodus, 10 g de poudre de fraises pétillantes, 30 ml de lait de licorne et pour finir une fleur de sucre ! Oh non ! On a utilisé la dernière !
– Pas de chance !
– Sauf que la petite sorcière futée que je suis, sait où la trouver : dans la Forêt des Songes !
– On y va ? proposa Barnabé
– Mais il va bientôt faire nuit… s’inquiéta Nao.
– Il n’y en aura pas pour bien longtemps…

Convaincus, les trois amis enfilèrent une veste sur leur pyjama et passèrent une porte magique qui les conduisit au bas d’une petite colline boisée.
– Par ici !
Sur les instructions de Myrtille, la petite troupe avança tout droit, puis tourna à gauche, traversa un ruisseau, contourna un gros chêne…et…et…ils étaient perdus !
– Perdus ? Pas du tout ! Foi de sorcière ! C’est juste que… je ne sais pas très bien où on est !
– On est perdus quoi ! On n’a ni eau, ni nourriture, le soleil vient de se coucher et moi, je commence à avoir sacrément froid ! s’inquiéta Nao.
– Ne t’inquiète pas, un petit tour de pinceau magique et… et… et… oh non, mon pinceau magique ! Je l’ai laissé dans la cabane de couvertures !

Les trois amis n’avaient pas le choix : il leur faudrait trouver un abri pour la nuit.
Ils marchèrent à travers la forêt, à la recherche d’une grotte, d’un terrier, ou même d’un trou dans un arbre. Mais pas la moindre cachette en vue. Il faisait de plus en plus froid, de plus en plus noir et ils étaient de plus en plus fatigués. Désespérés, ils projetèrent de se cacher sous des tas de feuilles quand Nao s’écria :
– Là- bas ! Il y a de la lumière !

Ils rassemblèrent leurs forces et se précipitèrent vers les lueurs.
– Une maison ! Ouf ! On est sauvés ! En plus ça sent drôlement bon. Y’a quelqu’un qui doit faire à manger ! se réjouit Barnabé.
– Il y a de la fumée aussi ! On va pouvoir se réchauffer ! se rassura Myrtille.

Quant à Nao, c’était tout autre chose qu’il avait remarqué :
– Vous avez vu ? Elle est bizarre cette maison ! D’un côté, elle est recouverte de dessins : des fleurs, des animaux, des jouets, des gâteaux aussi ! Et de l’autre, elle est toute grise! C’est comme si…
– Arrête de rêvasser Nao, et frappons à la porte !
Pas de réponse. Ils décidèrent d’entrer.

Myrtille s’approcha immédiatement du feu qui dansait dans la cheminée. Barnabé humait avec plaisir la délicieuse odeur d’une marmite fumante qui patientait sur la table. Nao, lui, observa la pièce avec étonnement : les murs étaient recouverts de papiers peints délavés, les tableaux qui y étaient accrochés s’effaçaient et le sol était noir comme de la cendre.

Alors qu’il était plongé dans ses pensées, un écureuil lui grimpa dessus. Il semblait paniqué.
– Qu’est-ce que vous fichez là ?!
Une dame recouverte de mille foulards colorés apparut soudain.
– Noisette, ici et tout de suite !
Le petit écureuil fila se poser à contrecœur à ses pieds.

– Nous sommes perdus, Madame. Nous avons vu de la lumière et… enfin… nous avons frappé à la porte et comme personne ne répondait… Nous avions si faim et si froid ! expliqua Myrtille.
– Ahhh je vois, et vous vous êtes dit que vous pouviez entrer et faire comme chez vous ? maugréa la vieille dame.
– Non pas du tout du tout ! bredouilla Barnabé.
– Et bien, vous auriez dû ! Installez-vous, je vais vous donner à manger ! Vous savez, je n’ai pas souvent de la visite, alors je suis parfois un peu rustre ! N’ayez crainte, vous pourrez passer la nuit ici !

Nos trois amis furent soulagés. La vieille dame leur servit à chacun un bon bol de soupe fumante.
– Miam, c’est super bon ! Merci Madame ! dit Barnabé en se délectant de sa soupe.
– Je trouve qu’elle a un drôle de goût, murmura discrètement Nao à Myrtille.
– Moi aussi. Mangeons. Il ne faut pas froisser la dame !

Il se força à avaler son bol à grosses gorgées.
– Et vous, vous ne mangez pas Madame ? constata Barnabé.
– Oh à mon âge, je n’ai plus beaucoup d’appétit ! Mangez mes petits, mangez.
Elle les resservit.

– Oh-la-la, je me sens super fatigué tout à coup ! bailla Barnabé.
– C’est ça quand on mange trop ! Oh mais qu’est-ce qui m’arrive à moi aussi ? J’ai de sacrés vertiges…
– Moi aussi ! Qu’est-ce qui se…
La dernière image que virent les enfants avant de s’endormir brusquement, fût le large sourire plein de dents cariées de la vieille dame.

– Nao, réveille-toi ! Nao ! Nao ! Regarde ! On est enfermés et Myrtille a disparu ! Et on a des casques bizarres sur la tête ! s’excita Barnabé.
Nao observa l’endroit. C’était une petite chambre grise, sans fenêtre, avec trois matelas par terre.
– C’était ça, le drôle de goût de la soupe ! La dame y a mis quelque chose pour nous endormir.
– Mais pourquoi ?

À ces mots, ils se rendirent compte que des images se dessinaient sur les murs de leur cellule. Il y avait des étoiles, des fioles, des potions, des citrouilles et puis même l’aspiroplane. Et soudain : un sphinx, l’Égypte et…Myrtille !
– Oh, comme je suis content de te revoir ! Hou hou Myrtille ! Myrtille ! cria Barnabé.
Mais Myrtille ne l’écoutait pas. Elle regardait ailleurs…

Tout à coup, surgit l’écureuil par la petite trappe incrustée dans la porte. Il était tout affolé :
– Vous êtes dans la maison d’une sorcière ! Cette pièce lui permet de voir si vous faites des rêves ou des cauchemars, grâce aux casques sur vos têtes. Ceux qui sont capables de rêver sont enfermés au grenier et branchés sur la « Machine à Transformer les Jolis Rêves en Réalités ». C’est une invention qui se sert des rêves des enfants pour embellir la maison de la sorcière ! Votre amie, la magicienne s’y trouve ! Une fois qu’elle aura cessé de rêver, la machine la transforma en petit animal, comme moi et mes amis !

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Conte & histoire de sorcière pour enfant

Soudain, des pas lourds se firent entendre.
– La sorcière ! Elle ne doit pas me voir ici !
Le petit écureuil disparut par la trappe.

La voix de la sorcière résonna derrière la porte :
– Que fais-tu ici ? Allez, oust !
Elle servit deux assiettes à nos amis par la petite ouverture :
– Et vous, mangez !
– Même pas en rêve ! Je préférerais encore lécher les murs de cette chambre pourrie ! s’énerva Barnabé.
– Ça peut s’arranger, ricana la sorcière en s’éloignant.

– Barnabé, nous allons devoir rêver si nous voulons rejoindre Myrtille au grenier.
– Mais je ne veux pas y aller, au grenier ! J’ai trop peur !
– On est obligé si on veut sauver Myrtille !
– Mais, nous, en vrai, on fait surtout des cauchemars ! Et on ne peut pas se forcer à faire de beaux rêves !
– Dessinons des choses sur les murs, avec la nourriture qu’elle nous a ramenée ! Elle pensera que nous sommes en train de rêver ! Viens, écrasons les épinards, ça nous fera la couleur verte, les carottes pour le orange, les tomates pour le rouge…

Nos deux amis réduisirent les légumes en purée, y plongèrent les doigts et dessinèrent de fabuleux dessins sur les murs de la pièce, la porte et même le sol. Leurs œuvres terminées, ils firent mine de dormir.

Interpellé par le silence, la sorcière jeta un œil par la trappe et vit leurs chefs d’œuvre.
– Alors, là, morve de crapaud et pet de chat, c’est incroyable ! Ils rêvent ! Je vais pouvoir les brancher à ma fabuleuse machine !

CLIC CLAC, elle entra dans la pièce : « Parfait, parfait, parfait, parfait… » Elle prit nos deux amis sous ses bras et les conduisit dans le grenier. Elle les attacha solidement à leur chaise, leur fixa un casque sur la tête relié à la machine.
– Et maintenant, rêvez mes jolis, rêvez ! leur susurra-t-elle à l’oreille avant de refermer délicatement la porte du grenier.

Nao et Barnabé ouvrirent les yeux. Myrtille était là, branchée à cette drôle de machine. Elle dormait profondément.
– C’est La Machine à transformer les jolis rêves en réalités !

L’imposant appareil avait quelque chose d’incroyable avec ses nombreux tubes et ses dizaines de ventouses. Il contenait de nombreuses fioles sur lesquelles étaient inscrits des noms d’enfants.
Il y avait d’un côté celles des rêves : elles étaient toutes vides, à l’exception de la fiole de Myrtille d’où la machine tirait les images qui coloraient la maison.
Et de l’autre côté se trouvaient des fioles remplies de cauchemars.

– On fait quoi maintenant, Nao ? dit Barnabé en chuchotant. On est attachés ! Tout est fichu !
– Je suis désolé Barnabé. C’est de ma faute ! Je pensais qu’en arrivant ici, je saurais imaginer quelque chose pour nous sortir de là !
– Tu n’y peux rien, Nao ! Ton plan était super ! Tu ne pouvais pas deviner que la sorcière nous ligoterait et planterait ces drôles de casques sur nos têtes. Je ne sais pas toi, mais moi, elle me fiche super la trouille cette machine ! C’est encore un truc à faire des cauchemars !
– Des cauchemars, des cauchemars… Barnabé, je crois que tu viens de me donner une idée ! Si la sorcière garde les cauchemars enfermés dans ces fioles, c’est qu’elle doit en avoir sacrément peur ! Voilà ce qu’on pourrait faire…
Nao lui expliqua son nouveau plan quand…

…la porte du grenier s’entre-ouvrit dans un grincement terrifiant…
Ouf ! C’était l’écureuil !
Il était accompagné de ses amis hérissons, souris, petits castors et lapins. Il dénoua prudemment les liens des garçons. Myrtille, elle, dormait toujours à poings fermés.

Alors que Barnabé s’approchait d’elle pour la sortir de son sommeil et lui expliquer la situation, Nao s’avança vers les fioles de cauchemars pour en étudier le contenu. Puis, d’un geste vif, il renversa trois d’entre elles.
En se brisant, elles libérèrent un dragon vert aux ailes rouges et aux dents pointues, puis un essaim de papillons tireurs de poils de nez, et enfin un fantôme à trois têtes qui s’élança vivement dans les étages de la maison.
– Aaaaaaah ! Un fantôôôôôme ! Va-t’en ! Nom de nom, je crois que ma machine est détraquée ! Je vais faire de ces enfants de la chaire à pâté !
À ses mots, Nao, Myrtille, Barnabé et les animaux se trouvèrent une cachette.

La sorcière gravit l’escalier à toute vitesse, le fantôme à ses trousses, et se rua dans le grenier.
Elle fut accueillie par des centaines de papillons.
– aaaAAH !
Ils s’agrippèrent à ses poils de nez, d’oreilles et de menton. La sorcière hurla de douleur. Elle était terrifiée.
– Regardez ! Elle est pâle comme un linge et ses cheveux blanchissent !
– C’est la peur qui la rend comme ça !

Elle agita les bras dans tous les sens, jusqu’à ce que l’essaim se dissipe enfin.
La respiration haletante, le corps tremblant, la voleuse de rêves pensait être arrivée au bout de ses peines quand elle vit soudain son pire cauchemar…

… le dragon cracheur de feu et de monstres épouvantables !
– AAAAAAAAh !
C’en était trop pour la sorcière. Elle se pétrifia de peur !
Et, d’un souffle, le dragon enflamma la statue qui vola en éclats.

– Youpiii ! On a gagné !
– Mais comment que tu savais que le dragon lui filerait les pétoches ? demanda Barnabé.
– Les dragons cracheurs de monstres épouvantables sont les ennemis des vilaines sorcières depuis la nuit des temps ! C’est Myrtille qui nous l’a dit quand elle nous a raconté ses histoires qui font peur !
– Qu’est-ce que vous feriez sans moi ?! rit Myrtille
– Allez, fichons le camp d’ici maintenant !
– Euhh les copains, il y a un petit problème… chuchota Barnabé.

Les cauchemars que Nao avait libérés se tenaient devant la porte du grenier. Ils refusaient de laisser nos amis sortir.
– Ça y est moi, aussi j’ai les pétoches ! avoua Barnabé.

Les papillons se jetèrent sur les cheveux de Myrtille. Les trois têtes du fantôme terrifièrent Barnabé sans relâche. Et le dragon embrasa le grenier d’un feu épouvantable.
– Nao ! Fais quelque chose ! supplia Barnabé. On va se statufier de peur !
– Mais quoi ?
– Sers-toi de ton imagination ! hurla Myrtille, assaillie par les papillons.

« IMAGINATION ! ». Ce mot ne fit qu’un tour dans la tête de Nao. Il se précipita vers la machine à capturer les songes où il ne restait qu’un seul un petit rêve de Myrtille : le Soufflé de Beaux Rêves, le gâteau magique dont elle leur avait parlé.
– Oh, j’ai une idée !

Il s’empara de la fiole et, esquivant les flammes, rejoignit le dragon. D’un rire effroyable, celui-ci s’apprêta à l’embraser. Mais Nao avait une idée. Il était hors de question qu’il se fasse pétrifier par ce cauchemar ! Il avait réussi à le retourner contre la sorcière, à présent il en ferait un allié !

Il brisa la fiole. Un délicieux Soufflé de Beaux Rêves se matérialisa. Il virevoltait tout autour du dragon laissant derrière lui un parfum savoureux. La monstrueuse bête s’en lécha les babines.
Blurp ! Il l’engloutit. Puis, il s’approcha de Nao et… lui fit une léchouille baveuse.
En dévorant le rêve, le dragon avait pris un air amical tout à coup.
– Tous sur le dragon !

Nao, Barnabé, Myrtille et les animaux escaladèrent la queue de l’animal et s’y cramponnèrent. La bête s’envola par la toiture trouée, juste avant que la maison enflammée ne s’effondre.
La « Machine à transformer les jolis rêves en réalités » explosa en mille morceaux. Les derniers cauchemars s’envolèrent dans le ciel. Au même moment, les petits animaux se transformèrent en enfants !

Tout ce petit monde sur le dragon d’un coup, c’en était trop pour lui. Il se posa devant les décombres fumants de la maison.
– Merci, merci ! Grâce à vous, nous sommes sauvés ! Nous allons pouvoir rentrer chez nous. Cela fait si longtemps que nous avons disparu. Espérons que nos parents ne nous ont pas oubliés, dit un garçon roux, notre ancien petit écureuil et chef de la bande.
– Tu crois qu’on arrivera encore à faire de jolis rêves après tout ce qu’il s’est passé ? Moi j’ai trop peur de ne faire que des cauchemars ! s’inquiéta une fillette haute comme trois pommes.
– Bien sûr que tu en feras, lui répondit Nao, des rêves fabuleux ! Rêver, ça ne s’oublie pas ! Et ce que nous apprend toute cette histoire, c’est que les cauchemars, tout comme les rêves, sont utiles ! Il suffit de bien les utiliser. Pour ça, rien de mieux que votre imagination ! Elle vous permettra de dompter vos cauchemars et même d’en jouer. C’est ce que j’ai fait avec le dragon ! Et de l’imagination, nous, les enfants, nous n’en manquons pas !

Les enfants rirent. Ils étaient rassurés et remercièrent chaleureusement Nao, Myrtille et Barnabé avant de prendre le chemin de leurs maisons.

Nos trois amis, quant à eux, s’envolèrent à dos de dragon jusqu’à la porte en bas de la colline boisée. Ils la rebaptisèrent : « La Forêt des Terribles Songes et des Jolis Cauchemars ».
Depuis ce jour, ils n’ont plus peur de se raconter des histoires effrayantes pendant leurs soirées pyjamas car, grâce à leur imagination, ils savent qu’ils pourront s’en amuser !

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